7e Semaine numériQC: une place de choix pour la recherche et l’innovation en intelligence artificielle et numérique menées à l’Université Laval
La 7e Semaine numériQC sera présentée à Québec, du 27 au 31 mars, au Terminal de croisières du Port de Québec. L’expertise de l’Université Laval occupe, encore cette année, une place importante dans cet événement majeur rassemblant près de 2000 personnes et plus de 100 conférences.
« L’importante participation de la communauté universitaire à cet événement est un écho au dynamisme et à la richesse des travaux de recherche autant qu’à l’offre de formation liée au numérique et à l’intelligence artificielle (IA) réalisée à l’Université Laval », a souligné le vice-recteur aux infrastructures et à la transformation, René Lacroix. Ce dernier prononcera l’allocution d’ouverture le 28 mars, journée consacrée notamment à l’intégration de l’innovation en IA dans les entreprises et les organisations ainsi qu’aux nouvelles législations liées à la gestion et à la valorisation des données.
La recherche à l’honneur, des soins de santé personnalisés aux métavers
Tout au long de la semaine, plusieurs projets issus de travaux ou de collaborations menés par des chercheuses et des chercheurs de l’Université Laval seront mis de l’avant.
Parmi ceux-ci, on peut mentionner les réalisations en matière de soins de santé personnalisés du Laboratoire de recherche sur les microsystèmes médicaux intelligents, les avancées du consortium de recherche FORAC en robotique intelligente comme levier pour les opérations forestières, le projet Datagochi piloté par l’équipe de la Chaire de leadership en enseignement des sciences sociales numériques, ou encore une initiative Université Laval-Sorbonne Université portant sur les enjeux éthiques liés aux métavers.
Le mercredi 29 mars, l’équipe du magazine CScience, aux côtés du Conseil de l’innovation du Québec et de l’Innovateur en chef du Québec, Luc Sirois, sera également sur place pour l’enregistrement spécial de l’émission C+Clair, sous le thème « Peut-on faire confiance à l’intelligence artificielle ? ». Au programme, des discussions autour de l’explicabilité de l’IA, des cadres normatifs et éthiques soutenant son acceptabilité sociale ou encore de l’intelligence artificielle dite «de confiance ».
Plusieurs professionnels et spécialistes associés à l’Institut intelligence et données (Camille Besse, Yann Pequignot et Schallum Pierre) participeront à l’enregistrement.
Une journée pour mettre en valeur l’expertise étudiante
ela, c’est sans compter un riche panorama de la recherche réalisée par des étudiantes et des étudiants aux cycles supérieurs de l’Université Laval, dans le cadre du 3e Concours de la recherche en intelligence et données, qui aura lieu le mercredi 29 mars, à la salle Relève.
Au menu, une douzaine de conférences qui toucheront divers aspects de l’intelligence artificielle et de la valorisation des données, allant de la communication non verbale de la douleur à l’aide d’agents conversationnels (Marie-Hélène Tessier, étudiante au doctorat en psychologie, et Jean-Philippe Mazet, étudiant à la maîtrise en informatique), au développement automatisé de modèles virtuels de ciels (Ian Maquignaz, étudiant au doctorat en génie électrique), en passant par l’intelligence artificielle dans le domaine de la production laitière (Tasnime Touil, étudiante au doctorat en sciences animales) et l’usage de l’apprentissage profond pour le développement de modèles de prédiction en assurance (Benjamin Leblanc, étudiant au doctorat en informatique).
Des unités de l’Université Laval contribuent activement à l’événement
Il faut dire que plusieurs organisations de l’Université Laval ont participé activement, encore cette année, à l’élaboration et l’organisation de la Semaine numériQC avec, au premier chef, l’Institut intelligence et données (IID), qui figure parmi les cinq principaux organisateurs de cet événement majeur du numérique.
L’Académie de la transformation numérique (ATN) et l’Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’intelligence artificielle et du numérique (OBVIA) ont également été appelés à contribuer à l’élaboration de la programmation, respectivement pour leurs propositions liées aux conférences concernant le gouvernement numérique ainsi que les enjeux éthiques et légaux du déploiement d’algorithmes d’IA et de traitement de données.
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