L’IA de confiance est un concept phare dans le cadre de cet événement. Présenté comme essentiel au développement et à l’adoption des systèmes de prise de décision critiques qui prévalent dans le domaine de la mobilité, le concept a été décortiquée par Philippe Molaret, directeur technique de Thalès, et Abdé Essaidi, vice-président exécutif de Axionable.

Selon lui, l’IA de confiance est au cœur des préoccupations des entreprises : 70 % d’entre elles se positionnent en faveur de la réglementation de l’IA, 30 % anticipent l’utilisation et la gouvernance de l’IA par des changements organisationnels, et 35 % sont en faveur de l’instauration d’un label maximisant la confiance dans les solutions à base d’IA. 

Philippe Molaret appuie l’idée que la confiance dans les systèmes d’IA est importante dans une foule de domaines et une multitude d’applications : la mobilité, dans les cas où les véhicules autonomes doivent par exemple savoir reconnaître des obstacles dans leur chemin et être capables de les éviter à temps, mais aussi les systèmes d’IA juridiques, qui ont un impact potentiellement négatif sur la réputation des personnes, ou dans le domaine de la santé, où d’importants risques sont liés à la prise de décision des machines.

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